“L’amour de la lecture, des mots, l’envie de scruter, d’autopsier certains personnages connus ou inconnus, de créer à partir de cette matière, mélange de personnel et d’universel, le besoin de liberté d’expression, m’ont amenée tout naturellement à écrire.
Pour le théâtre et pour le cinéma... et maintenant, à transmettre au travers de Master classes à la demande ou en ligne
- Le sens des mots
Comprendre ce qu'on lit , ce qu'on entend pour comprendre ce que l'on dit, écrit...
- Écriture théâtrale
de l'idée à la page
de la page à la scène
- Écriture scénaristique
de l'idée à la page
de la page à l'écran
«Marie-Antoinette, la dernière heure»
un Spectacle de et avec Bunny Godillot
La citoyenne Marie-Antoinette, condamnée à mort, vit sa dernière heure dans son cachot, seule avec sa peur, son courage et ses fantômes : sa mère Marie-Thérèse d’Autriche, son époux, le Roi Louis XVI, ses chers enfants, l’aimé Axel de Fersen, sa couturière Melle Bertin, Le cardinal de Rohan ; tous ceux qui ont été maitres d’un destin qu’elle n’a pas choisi. A travers son journal et sur les morceaux de musiques qui y sont liés, elle revit les moments les plus marquants de sa vie de fille, de femme, de mère, d’épouse, d’amie, puis le destin la rattrapant, de reine et part à la mort en pardonnant à ses ennemis.
“Il faut sauver ces feuilles qui contiennent ma vie depuis mon arrivée dans ce pays-ci
Pour la Vérité
Pour la Mémoire
Pour mes Enfants”
Marie-Antoinette (Son dernier souhait)
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Création dans le cadre
du Festival de la Nouvelle Danse à Uzes
Nijinski, la dernière danse
d’après les «cahiers» (version non expurgée)
Avec Tercelin Kirthley et Grégor Rollet
Mise en scène : Bunny Godillot
«Je suis un fou qui aime l’humanité, Ma folie, c’est l’amour de l’humanité»
Vaslav Nijinski
Le 19 Janvier 1919, dans un palace en Suisse, Vaslav Nijinski, agé de 30 ans, étoile des ballets russes, chorégraphe révolutionnaire de L’ après-midi d’un Faune et du Sacre du Printemps que le monde surnomme LE DIEU DE LA DANSE, s’apprête à danser pour la dernière fois, devant les clients de l’hôtel Suvretta et à jouer le rôle le plus long et le plus pathétique de sa carrière : celui du «FOU».
Ses «Cahiers», écrits dans les mois suivants, sont des pages acpitales pour l’histoire, la danse et la psychiatrie. Nijinski les écrit dans une langue fiévreuse, incandescente, à la manière de Dostoïevski, des pages d’une lucidité aveuglante, d’autres d’une terrifiante lucidité.
Entre réalité et hallucinations, Nijinski voit s’affronter en lui, sa nature et celle du monde, ses peurs, ses amours et ses haines, des pas de danse, de la musique, réminiscences de son passé et du présent vide de sens :
LE CHAOS !
Lien : https://www.youtube.com/watch?v=CecgyVgyTOo&t=550s